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Pour un bon Équilibre Mental et Spirituel 2
la priorité est subordonné aux directives humaines. —
Témoignages
pour l’Église 2 :494
(1900).
Influence sociale du foyer
— La mission confiée au foyer
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chrétien s’étend bien au-delà du cercle familial. Un tel foyer doit
être une véritable leçon de choses pour tous ceux qui l’entourent,
illustrant l’excellence des vrais principes. Supérieure en puissance
aux plus beaux sermons sera l’influence exercée par son moyen
sur les cœurs. Les jeunes gens et les jeunes filles qui en sortent
répandent autour d’eux les enseignements qu’ils y ont reçus. Des
principes élevés sont ainsi introduits dans d’autres familles et une
influence ennoblissante opère au sein de la société. —
Le ministère
de la guérison, 298
(1905).
Des facteurs puissants.
— L’amabilité et la sociabilité chré-
tiennes sont des facteurs puissants pour gagner les affections de la
jeunesse. —
Counsels to Parents, Teachers, and Students, 208
(17
sept. 1902).
Un édifice chancelant.
— Déjà la doctrine selon laquelle
l’homme est dispensé d’obéir aux commandements de Dieu a obli-
téré le sentiment de l’obligation morale et déclenché sur le monde
un déluge d’iniquités. L’anarchie, la dissipation, le dérèglement dé-
ferlent sur nous comme un raz de marée dévastateur. Satan est à
l’œuvre dans la famille. Sa bannière flotte jusque sur les foyers
soi-disant chrétiens. On y trouve l’envie, la suspicion, l’hypocrisie,
l’éloignement, les inimitiés, les querelles, la trahison des affections,
la sensualité. Tout le système des principes religieux, qui devrait
servir de base et de cadre à l’édifice social, ressemble à une masse
chancelante, prête à s’effondrer. —
La tragédie des siècles, 634, 635
(1888).
Des lois propres à sauvegarder l’égalité sociale.
— Le Sei-
gneur désirait aussi élever une barrière contre l’amour insatiable
des richesses et combattre le fléau qui résulte de l’accroissement
continuel de la fortune chez certaines classes de la société, tandis que
chez d’autres la misère s’aggrave. En effet, sans frein, la puissance
des riches aboutit au monopole et les pauvres, tout aussi estimables
aux yeux du Seigneur, sont considérés et traités par leurs frères plus
favorisés comme une race inférieure.
* .
Voir vol. 1, chapitre 20 : “L’atmosphère du foyer”
.