Une création constante, 3 août
            
            
              ... à être renouvelés dans l’esprit de votre intelligence, et à revêtir
            
            
              l’homme nouveau, créé selon Dieu dans une justice et une sainteté que
            
            
              produit la vérité.
            
            
              Ephésiens 4 :23, 24
            
            
              .
            
            
              Le Christ condamnait ouvertement le mal. ... Sa seule présence était une
            
            
              censure contre tout ce qui était faux et vil. A la lumière de la pureté du Sauveur,
            
            
              les hommes se voyaient eux-mêmes impurs et comprenaient que le but de leur
            
            
              vie était faux et mesquin. Cependant, ils étaient attirés vers lui. Celui qui a créé
            
            
              l’homme comprenait la valeur de l’humanité. ...
            
            
              Dans tout être humain, il discernait des possibilités infinies. Il voyait les
            
            
              hommes comme ils pouvaient être : transfigurés par sa grâce, dans “la beauté de
            
            
              l’Eternel, notre Dieu”.
            
            
              Psaumes 90 :17
            
            
              .
            
            
            
              Tous les défauts du caractère ont leur racine dans le cœur. L’orgueil, la
            
            
              vanité, la méchanceté, la convoitise proviennent d’un cœur charnel qui n’a pas
            
            
              été renouvelé par la grâce du Christ.
            
            
            
              C’est en changeant le cœur que la grâce de Dieu travaille à transformer
            
            
              une vie. De simples changements extérieurs ne suffisent pas à nous mettre
            
            
              en harmonie avec Dieu. Nombreux sont ceux qui essaient de se réformer en
            
            
              corrigeant telle ou telle mauvaise habitude, espérant ainsi devenir chrétiens, mais
            
            
              ils prennent un faux départ. C’est par le cœur que la réforme doit commencer. ...
            
            
              Dans cette transformation du caractère, les Ecritures jouent un rôle important.
            
            
              Le Christ a prié : “Sanctifie-les par ta vérité ; ta parole est la vérité.”
            
            
              Jean 17 :17
            
            
              .
            
            
              ...
            
            
              Ne nous cherchons pas d’excuse, mais poursuivons avec zèle l’œuvre de
            
            
              réforme qui doit se faire dans nos vies. Crucifions notre moi. Nos habitudes
            
            
              profanes chercheront avec insistance à prédominer, mais au nom de Jésus et par
            
            
              sa puissance, nous pouvons être vainqueurs. A celui qui s’efforce chaque jour de
            
            
              garder son cœur avec diligence, la promesse est donnée : “Car j’ai l’assurance
            
            
              que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni
            
            
              les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur ni la profondeur, ni aucune autre
            
            
              créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ
            
            
              notre Seigneur.”
            
            
              Romains 8 :38, 39
            
            
              .
            
            
            
              [225]
            
            
              6.
            
            
              Education, 75, 76
            
            
              7.
            
            
              Our High Calling, 336
            
            
              8.
            
            
              The Review and Herald, 7 juil. 1904
            
            
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