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Pour un bon Équilibre Mental et Spirituel 2
rieures. Cela constitue une offense envers Dieu et entraîne un déclin
de la vie spirituelle. —
Letter 69, 1896
.
La meilleure thérapie.
— Le sentiment de faire le bien est le
meilleur remède pour des corps et des esprits malades. La bénédic-
tion de Dieu pour celui qui en est l’objet est la santé et la force. Une
personne dont l’esprit est serein et satisfait en Dieu est sur le chemin
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de la santé...
Certains croient qu’obliger l’esprit à s’appesantir sur des sujets
joyeux afin de refléter la lumière au lieu de l’obscurité et la tristesse
ne fait pas partie des devoirs religieux. Ces gens-là seront enclins à
rechercher leur propre plaisir par des conversations frivoles, à rire et
à plaisanter, l’esprit continuellement excité par des amusements, ou
bien ils seront déprimés à cause de grandes épreuves et de luttes in-
térieures que, pensent-ils, bien peu ont connues ou sont capables de
comprendre. De telles personnes ont beau faire profession de chris-
tianisme, elles se trompent elles-mêmes. —
The Health Reformer,
mars 1872
.
Œuvrer pour l’âme comme pour le corps.
— Nos employés
médicaux doivent faire tout ce qui est en leur pouvoir de manière
à soigner les maladies du corps, mais aussi celles de l’esprit. Ils
doivent veiller, prier et agir, afin de procurer des bienfaits spirituels
aussi bien que physiques à ceux auprès desquels ils travaillent. Le
médecin de l’un de nos sanatoriums qui est un vrai serviteur de Dieu
a une œuvre du plus haut intérêt à accomplir en faveur des êtres
souffrants avec lesquels il est en contact. Il ne doit manquer aucune
occasion d’orienter les âmes vers Jésus Christ, le grand Médecin du
corps et de l’esprit. Tout médecin devrait être un ouvrier habile au
service du Christ. Son intérêt pour les choses spirituelles ne doit pas
faiblir ; sinon, la capacité de fixer son esprit sur la grand Médecin
sera restreinte. —
Letter 223, 1905
.
Connaître le pouvoir de la grâce divine.
— Le médecin a
besoin d’une sagesse plus qu’humaine afin de savoir comment se
comporter dans de nombreux cas difficiles de maladies de l’esprit
et du cœur qu’il est appelé à traiter. S’il ignore la puissance de la
grâce divine, il ne peut venir en aide aux malades ; au contraire, il
aggravera leurs maux. Mais s’il est fermement attaché à Dieu, il
sera capable d’aider les esprits malades et troublés ; il pourra attirer
ses patients au Christ et leur apprendre à se décharger sur lui de