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Pour un bon Équilibre Mental et Spirituel 2
bonheur aux autres, communique une vigueur nouvelle à l’être tout
entier. —
Le ministère de la guérison, 221
(1905).
Piété et santé.
— Ceux qui marchent sur le chemin de la sagesse
et de la sainteté se rendent compte que “la piété est utile à tout, elle
a la promesse de la vie présente et de la vie à venir”
1 Timothée 4 :8
.
Ils jouissent pleinement des vrais plaisirs de la vie et ne sont obsédés
ni par des regrets stériles sur le temps perdu, ni par de sombres
pressentiments comme c’est le cas des mondains lorsqu’ils ne sont
pas distraits par des plaisirs excitants. Loin d’être en contradiction
avec les lois de la santé, la piété est en harmonie avec elles. La
crainte du Seigneur est le fondement de toute vraie prospérité. —
Christian Temperance and Bible Hygiene, 14
(1890).
Counsels on
Health, 29
.
Une lutte constante.
—Quiconque désire devenir participant de
la nature divine doit se rendre compte qu’il lui faut fuir la corruption
qui existe dans le monde par la convoitise. Un combat permanent
contre les imaginations nuisibles est nécessaire. Il faut résister fer-
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mement à la tentation en pensée et en acte. L’âme doit être gardée
de toute souillure par la foi en Celui qui peut nous préserver de toute
chute.
Nous devons méditer les Ecritures, en réfléchissant avec sérieux
et sincérité aux choses qui concernent notre salut éternel. La mi-
séricorde et l’amour infinis de Jésus, le sacrifice qu’il a consenti
pour nous demandent de notre part une réflexion tout à fait sérieuse
et solennelle. Nous devrions méditer sur le caractère de notre cher
Sauveur et Intercesseur, et chercher à comprendre la signification du
plan du salut. Nous devrions réfléchir sur la mission de Celui qui
est venu sauver son peuple de ses péchés. En méditant constamment
sur les thèmes célestes, notre foi et notre amour grandiront. —
The
Review and Herald, 12 juin 1888
.
La santé est un tout.
— Tout ce qui nuit à la santé affaiblit non
seulement la vigueur physique, mais aussi les énergies mentales et
morales. —
Le ministère de la guérison, 103
(1905).
Etant donné que l’esprit et l’âme s’expriment au moyen du corps,
l’énergie mentale et l’énergie spirituelle dépendent dans une grande
mesure de la robustesse et de l’activité de ce corps ; tout ce qui
favorise la santé physique favorise également le développement d’un
esprit solide et d’un caractère équilibré. —
Education, 221
(1903).