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Pour un bon Équilibre Mental et Spirituel 2
Tous les traitements qu’on donnera à cette sœur ne
serviront pas à grand chose si elle ne fait pas sa part.
Elle a besoin de fortifier ses muscles et ses nerfs grâce à
un travail physique. Son infirmité n’est pas une fatalité ;
elle peut accomplir un travail utile et sérieux. Comme
beaucoup d’autres, elle souffre d’une imagination ma-
lade. Mais elle peut la surmonter et recouvrer la santé.
J’ai adressé ce message à de nombreuses personnes, et
avec les meilleurs résultats. —
Letter 231, 1905
.
Medi-
cal Ministry, 108, 109
.
Faire appel au pouvoir de la volonté.
— L’indolence est un
grand mal. En s’apitoyant sur eux-mêmes, hommes, femmes et
jeunes gens se croient dans une condition pire qu’elle n’est en réalité.
Ils nourrissent leurs maux, y pensent, et en parlent au point qu’ils
semblent n’être plus utiles à rien. Nombreux sont ceux qui sont
descendus dans la tombe, alors qu’ils auraient pu et dû vivre. Leur
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imagination était malade. S’ils ne s’étaient pas laissé dominer par
leurs infirmités ; s’ils avaient fait appel au pouvoir de la volonté, ils
auraient pu survivre et bénir le monde par leur influence. —
The
Health Reformer, juillet 1868
.
Délivrance du péché et guérison physique.
— Le médecin
croyant doit travailler en collaboration avec le Christ. Le Sauveur
prenait soin à la fois du corps et de l’âme ; son Evangile était un
message de vie spirituelle et de restauration physique. Pour lui, la
délivrance du péché et la guérison de la maladie étaient étroitement
unies. C’est ce même ministère d’amour qui est confié aujourd’hui
au médecin craignant Dieu. Il doit imiter le Christ en s’occupant
des besoins spirituels en même temps que des besoins corporels de
ses semblables. Il faut qu’il soit pour les malades un messager de
miséricorde qui leur apporte à la fois le remède du corps et celui de
l’âme. —
Le ministère de la guérison, 87
(1905).
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