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Pour un bon Équilibre Mental et Spirituel 2
Ne pas consommer une grande variété d’aliments.
— Nous
devons prendre soin des organes digestifs, et ne pas leur imposer une
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grande variété d’aliments. Celui qui se bourre de plusieurs sortes
d’aliments au même repas se fait du tort à lui-même. Il est plus
important que nous consommions ce qui nous convient plutôt que
de goûter à tous les plats qui peuvent nous être présentés. L’estomac
ne possède pas de porte par laquelle nous puissions voir ce qui s’y
passe ; c’est pourquoi nous devons nous servir de notre intelligence
et faire la relation de cause à effet. Lorsque vous êtes énervé et
que tout paraît aller de travers, c’est peut-être que vous souffrez des
conséquences d’avoir consommé une grande variété d’aliments. —
Manuscrit 41, 1908
.
Conseils sur la Nutrition et les Aliments, 132,
133
.
Le plan de Dieu pour nous.
— Dieu veut que, grâce à une
stricte tempérance, nous gardions l’esprit lucide, afin que nous
soyons capables de distinguer entre ce qui est sacré et ce qui est
profane. Nous devrions nous efforcer de comprendre la science mer-
veilleuse de la miséricorde et de la bonté incomparables de Dieu.
Ceux qui mangent trop et ceux qui absorbent de la nourriture mal-
saine se font du tort à eux-mêmes et se disqualifient pour le service
de Dieu. Il est dangereux de manger de la viande, car les animaux
souffrent de nombreuses maladies mortelles. Ceux qui persistent à
vouloir manger de la chair animale sacrifient leur spiritualité à un
appétit perverti. Leur corps est plein de maladies. —
Manuscrit 66,
1901
.
Les risques accrus d’une nourriture carnée.
— Les risques
de maladies sont augmentés dix fois par l’usage de la viande. Cette
habitude diminue les forces physiques, intellectuelles et morales.
Elle introduit le déséquilibre dans l’organisme, obscurcit l’esprit et
émousse le sens moral. —
Témoignages pour l’Église 1 :220
(1900).
Nourriture et activité intellectuelle.
— Nous sommes faits de
ce que nous mangeons, et le fait de manger beaucoup de viande réduit
l’activité intellectuelle. Les étudiants accompliraient davantage de
travail s’ils ne prenaient jamais de viande. Lorsque le côté animal
de l’être humain est fortifié en mangeant de la viande, les facultés
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intellectuelles sont diminuées d’autant.
On atteint et on maintient plus facilement la vie spirituelle si
l’on renonce à la viande, car cette alimentation incite à une activité