Le rôle vital des lois divines
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l’oreille aux croyances et aux coutumes populaires. Si vous voulez
qu’ils soient utiles dans ce monde et qu’ils reçoivent la récompense
éternelle dans le royaume de gloire, vous devez leur apprendre à
obéir aux lois de Dieu, révélées dans sa nature et dans sa Parole, au
lieu de les pousser à suivre les coutumes du monde. —
The Review
and Herald, 6 nov. 1883
.
Tempérance, 121
.
Un remède à la délinquance juvénile.
— Si les pères et les
mères avaient suivi les prescriptions du Christ, nous n’entendrions
pas parler des péchés et des délits commis non seulement par des
adultes, mais aussi par des adolescents et des enfants. La perversité
de la société vient de ce que les parents ont méprisé ces préceptes,
de ce qu’ils ont négligé d’éduquer leurs enfants et de leur apprendre
à respecter et à honorer les saints commandements de Dieu.
Même les maîtres chrétiens ont négligé de présenter la norme
sainte par laquelle le caractère est mesuré, parce qu’ils ont cessé
de respecter chacun des préceptes saints, justes et bons que Dieu a
donnés. Les hommes ont pris sous leur responsabilité d’ériger un
critère qui soit en accord avec leurs idées, et la loi de Yahvé a été
déshonorée. C’est pourquoi l’iniquité est si grande et si répandue.
C’est pourquoi notre époque devient comparable à celle de Noé et
de Lot. —
The Review and Herald, 2 mai 1893
.
Loi morale et lois physiques.
— Il existe une relation étroite
entre la loi morale et les lois que Dieu a établies dans le monde phy-
sique. Si les humains voulaient obéir à la loi de Dieu, en mettant en
pratique les principes contenus dans ses dix préceptes, les principes
de justice qu’elle enseigne les préserveraient des mauvaises habi-
tudes. Mais comme, en donnant libre cours à leurs appétits pervertis,
ils ont reculé en matière de vertu, ils se sont affaiblis à cause de leurs
pratiques immorales et de leur violation des lois physiques.
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La souffrance et la tristesse que l’on voit partout — la laideur,
la décrépitude, la maladie et la débilité mentale dont le monde est
plein, font de celui-ci une léproserie en comparaison de ce qu’il
pourrait être si l’on obéissait à la loi morale de Dieu et à celle
qu’il a implantée dans notre être. Par sa persistance à violer ces
lois, l’homme a grandement aggravé les maux qui résultent de la
transgression commise en Eden. —
The Review and Herald, 11 févr.
1902
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