Page 460 - Conseils sur la Nutrition et les Aliments (1972)

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Conseils sur la Nutrition et les Aliments
Une table bien garnie
Testimonies for the Church 2 :487, 1870
8. En tout temps ma table est bien garnie. Lorsqu’il y a des visi-
teurs, qu’ils soient croyants ou non, je n’apporte aucun changement.
Je m’arrange pour ne jamais être surprise par l’arrivée inopinée
d’une demi-douzaine de personnes que je ne serais pas prête à rece-
voir. J’ai suffisamment de nourriture simple et saine à ma disposition
[584]
pour satisfaire l’appétit et répondre aux besoins de l’organisme. Si
quelqu’un d’entre les visiteurs estime ne pouvoir s’en contenter, il
est libre de chercher ailleurs ce qu’il désire. Sur ma table, on ne
trouve ni beurre, ni aliments carnés. Rarement des cakes. En général,
il y a un large assortiment de fruits, de bon pain et de légumes. Notre
table est toujours bien pourvue, et tous ceux qui la fréquentent s’en
trouvent bien et en retirent avantage. Ceux qui s’y assoient n’ont
pas de goûts épicuriens et y consomment avec plaisir ce que notre
Créateur y dispense avec libéralité.
[La nourriture peut être sucrée suivant la demande ; pas de sucre
sur la table — 532]
En train
The Health Reformer, décembre 1870
9. Tandis que parents et enfants dégustaient ces friandises, mon
mari et moi nous partagions notre simple repas, à l’heure habituelle,
c’est-à-dire treize heures : repas composé de pain complet non beurré
et de fruits. Nous mangeâmes notre collation de bon appétit, et le
cœur reconnaissant de ce que nous n’étions pas obligés de transporter
avec nous toute une épicerie afin de satisfaire les caprices de notre
appétit. Nous mangeâmes de bon cœur et n’éprouvâmes plus aucune
sensation de faim jusqu’au lendemain matin. Le vendeur d’oranges,
de noix, de popcorn et de bonbons nous considéra comme de bien
pauvres clients.
[En 1873, un peu de lait et un peu de sucre — 532]
Difficultés rencontrées et les compromis qui en résultent
Lettre 83, 1901