Section 24 Boissons
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748. Par ses tentations subtiles, Satan corrompt les esprits et
détruit les âmes. Nos membres vont-ils discerner et comprendre la
gravité du péché d’entretenir un appétit perverti ? Ecarteront-ils le
thé, le café, la viande et toute nourriture stimulante, pour consacrer
à la proclamation de la vérité les moyens dépensés à satisfaire ces
pratiques nocives ? ... Quel pouvoir le fumeur peut-il déployer pour
freiner les progrès de l’intempérance ? Il faut qu’une révolution se
produise dans le monde au sujet du tabac avant que la hache puisse
attaquer le tronc de l’arbre. Pour dire les choses comme elles sont, le
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thé et le café entretiennent l’appétit et le portent vers des stimulants
plus forts, tels le tabac et l’alcool.
Lettre 135, 1902
749. Au sujet des aliments carnés nous pouvons tous dire :
“Laissons-les de côté.” Et tous nous devrions nous opposer au thé
et au café et ne jamais en consommer. Ce sont des narcotiques
s’attaquant à la fois au cerveau et aux autres organes du corps. ...
Que les membres de nos églises abandonnent tout appétit égoïste.
Chaque centime dépensé pour du thé, du café et de la viande est plus
que gaspillé ; car ces choses entravent le développement maximum
des facultés physiques, mentales et spirituelles.
Une insinuation de Satan
Testimonies for the Church 1 :548, 549, 1867
750. Certains pensent qu’ils ne peuvent se réformer, que leur
santé en pâtira s’ils abandonnent l’usage du thé, du tabac et des
aliments carnés. C’est là une insinuation de Satan. Ce sont ces
stimulants nuisibles qui, à coup sûr, affaiblissent la constitution
et rendent l’organisme sujet aux maladies aiguës, en dégradant le
mécanisme délicat de la nature, battant en brèche les fortifications
qu’elle érige contre les maladies et la mort prématurée. ...
L’usage des stimulants artificiels détruit la santé et a une in-
fluence sur le cerveau, le rendant inapte à apprécier les réalités
éternelles. Ceux qui chérissent ces idoles ne peuvent juger à sa
juste valeur le salut que le Christ a gagné pour eux par une vie de