Page 367 - Conseils sur la Nutrition et les Aliments (1972)

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Section 23 Viandes (suite des protides)
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688. L’habitude de manger de la viande diminue les forces phy-
siques, intellectuelles et morales. Elle introduit le déséquilibre dans
l’organisme, obscurcit l’esprit et émousse le sens moral. Nous vous
assurons, cher frère et chère sœur, que la manière la plus sûre de
conserver la santé tant morale que physique est d’écarter la viande.
La vraie cause méconnue
Rayons de santé, 102, 1905
689. Les effets de l’usage de la viande peuvent ne pas apparaître
[468]
immédiatement, mais ce n’est pas une preuve de la non-toxicité de
l’alimentation carnée. Bien peu de personnes en arrivent à croire
que la viande qu’ils ont consommée a vicié leur sang et causé leurs
souffrances.
Extracts from Unpublished Testimonies in Regard to Flesh Foods,
8, 1896
690. Ce sujet m’a été présenté sous ses divers aspects. On ne se
rend pas compte de la mortalité due à la consommation de viande ; si
tel était le cas, nous n’entendrions plus les arguments et les excuses
invoqués en faveur de la satisfaction de l’appétit pour les aliments
carnés. Nous avons suffisamment de bons aliments à notre disposi-
tion sans avoir à mettre du cadavre sur nos tables pour composer le
menu.
Christian Temperance and Bible Hygiene, 48 (1890) Counsels on
Health, 115
691. Bien des gens meurent de maladies causées uniquement par
la viande, sans que ni eux-mêmes, ni les autres s’en doutent. Chez
certains, les mauvais effets ne se font pas sentir immédiatement,
mais cela ne prouve pas que la viande ne leur soit pas nuisible. Elle
agit sûrement sur l’organisme, mais sur le moment la victime n’en a
pas conscience.
Testimonies for the Church 2 :61, 1868