Section 17 — La diététique en tant que remède rationnel
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Une stricte tempérance comme remède à la maladie
Rayons de santé, 295, 1905
462. Lorsqu’un médecin se rend compte qu’un malade souffre
par sa manière de manger et de boire, ou par suite d’autres mauvaises
habitudes, s’il ne le met pas en garde contre ses erreurs, il lui fait un
grand tort. Les ivrognes, les aliénés, les débauchés sont pour lui une
invitation à proclamer bien haut que la souffrance résulte du péché.
Ceux qui comprennent les principes de la vie devraient s’employer
avec zèle à lutter contre toutes les causes de maladie. En contact
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continuel avec la douleur, s’efforçant de la soulager, comment le
médecin pourrait-il se taire ? Serait-il charitable et compatissant
s’il négligeait de proclamer la tempérance comme le grand remède
contre la maladie ?
Prescrire la meilleure nourriture possible
Manuscrit 93, 1901, p.1
463. Les médecins devraient être vigilants dans la prière, en
comprenant qu’ils assument une grande responsabilité. A leurs pa-
tients, ils devraient prescrire le régime alimentaire qui leur convient
le mieux. Cette nourriture devrait être préparée par une personne
consciente d’occuper un poste de la plus haute importance, et qui
sache qu’un sang de qualité ne peut être produit que par des aliments
de qualité.
[Les olives en tant qu’aliments laxatifs — 614, 615]
[Valeur thérapeutique des œufs — 628, 629, 631]
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