Section 6 — Une alimentation impropre est une cause de maladie
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attribuent rarement leurs souffrances à leur cause véritable, c’est-
à-dire leur mauvaise façon d’agir. Ils ont pratiqué l’intempérance
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dans le manger, et fait une idole de leur appétit. Dans toutes leurs
habitudes, ils ont manifesté de l’insouciance envers la santé et la
vie ; et lorsque, en conséquence, la maladie les a atteints, ils ont cru
que Dieu en était l’auteur, alors que seule leur mauvaise façon d’agir
avait amené ce résultat inévitable.
Rayons de santé, 113, 114, 1905
199. La maladie a toujours une cause. La négligence des lois de
la santé lui ouvre la voie. Beaucoup souffrent par suite des fautes de
leurs parents. Bien qu’ils ne soient pas responsables de ce qu’ont fait
ces derniers, leur devoir est néanmoins de s’assurer qu’ils ne violent
pas eux-mêmes les lois de la santé. Qu’ils évitent les mauvaises
habitudes de leurs parents, et par une façon de vivre rationnelle, se
placent dans les meilleures conditions possible.
Le plus grand nombre cependant souffrent par leur propre faute.
Ils négligent les principes de la santé dans leur manière de manger, de
boire, de se vêtir et de travailler, et ces erreurs ont des conséquences
inéluctables. Lorsque la maladie les surprend, au lieu d’en recon-
naître la véritable cause, ils murmurent contre Dieu qu’ils rendent
responsable de leurs souffrances. ...
Les excès dans le manger sont souvent une cause de maladie. Ce
dont la nature a le plus besoin dans ce cas, c’est d’être délivrée de la
charge excessive qui lui a été imposée.
[Certains parents sèment des germes de maladie et de mort —
635]
[L’inévitable punition — 11, 29, 30, 221, 227, 228, 250, 251,
294]
La gourmandise engendre la maladie
Rayons de santé, 307, 1905
200. Il en est beaucoup qui se rendent malades par leur intem-
pérance. Ils ne se sont pas conformés aux lois naturelles et aux
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principes de la pureté. D’aucuns ont violé les lois de la santé dans le
boire et le manger, ou dans la manière de se vêtir et de travailler.