Que votre foyer soit une source de bénédictions, 16 juillet
            
            
              Lorsque tu donnes un festin, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux,
            
            
              des aveugles. [...] Ils ne peuvent pas te rendre la pareille ; car elle te sera
            
            
              rendue à la résurrection des justes.
            
            
              Luc 14 :13, 14
            
            
              L’intérêt égoïste qu’on manifeste si souvent pour “soi et sa famille” déplaît
            
            
              souverainement à Dieu. Toute famille qui nourrit cet esprit devrait se convertir
            
            
              aux purs principes de l’Évangile mis en valeur par la vie du Christ. Tous ceux
            
            
              qui se renferment en eux-mêmes, qui ne veulent pas écouter l’exhortation du Sei-
            
            
              gneur et faire un bon accueil aux visiteurs perdent beaucoup de bénédictions
            
            
            
            
              Faisons profiter beaucoup de gens de l’influence heureuse de nos foyers, et
            
            
              que nos relations sociales ne soient pas dictées par la coutume mondaine, mais
            
            
              par l’esprit du Christ et les enseignements de sa Parole. Les Israélites invitaient
            
            
              à toutes leurs fêtes le pauvre, le Lévite et l’étranger. Le Lévite, à la fois assistant
            
            
              du prêtre, conducteur religieux et missionnaire, était l’hôte du peuple à chaque
            
            
              réjouissance sociale ou religieuse ; s’il tombait malade ou se trouvait dans le
            
            
              dénuement, on prenait soin de lui avec sollicitude. Ce sont de telles personnes
            
            
              que nous devrions accueillir dans nos demeures. Cela remplirait de joie et de
            
            
              courage l’infirmière, l’instituteur ou l’institutrice, la mère de famille chargée de
            
            
              soucis et accablée de travail, l’être affaibli et le vieillard souvent sans famille
            
            
              qui luttent contre la pauvreté et le découragement. [...]
            
            
              Un accueil chaleureux, un siège à votre table, le plaisir de participer à la
            
            
              prière seraient pour beaucoup d’entre eux comme un rayon céleste.
            
            
              Nos sympathies doivent dépasser les limites du “moi” et le cercle de nos
            
            
              demeures. Des occasions précieuses s’offrent à ceux qui désirent que leur foyer
            
            
              ait autour d’eux une influence heureuse. Il y a là une puissance merveilleuse que
            
            
              nous pouvons utiliser, si nous le voulons, pour venir en aide à notre prochain.
            
            
              [...]
            
            
              Nous ne passons en ce monde qu’une fois et nous n’y séjournons que très
            
            
              peu de temps. Faisons donc rendre à notre vie son maximum
            
            
            
            
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              Témoignages pour l’Église 2 :665
            
            
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              Rayons de santé, 30
            
            
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