Le corps, serviteur de l’esprit, 24 mai
            
            
              Car ce n’est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné, mais un
            
            
              esprit de force, d’amour et de sagesse.
            
            
              2 Timothée 1 :7
            
            
              Chaque organe a été formé pour être au service de l’esprit
            
            
            
            
               Le cerveau
            
            
              est le poste de commandement du corps ; c’est le siège de toutes les énergies
            
            
              nerveuses et de toutes les activités mentales. Les nerfs émanant du cerveau
            
            
              dirigent le corps. Comme des fils télégraphiques, ils transmettent les impressions
            
            
              à tous les autres nerfs et ils contrôlent l’action vitale de toutes les parties du
            
            
              système nerveux. Tous les mouvements sont dirigés par les communications
            
            
              reçues du cerveau
            
            
            
            
              C’est seulement par le moyen des nerfs cérébraux qui sont en relation avec
            
            
              tout l’organisme que le ciel peut communiquer avec l’homme et atteindre sa
            
            
              vie intime. Tout ce qui trouble le fonctionnement du courant électrique dans
            
            
              le système nerveux diminue les facultés vitales et amoindrit la sensibilité de
            
            
              l’esprit
            
            
            
            
              Les parties du corps qu’on ne traite pas avec soin informent immédiatement
            
            
              le cerveau du tort qu’on leur fait subir
            
            
            
            
              Ne considérons pas seulement comme un privilège, mais comme un devoir
            
            
              sacré, la connaissance des lois de Dieu qui régissent notre corps. [...] Et si les
            
            
              hommes comprennent mieux le fonctionnement de l’organisme... ils s’efforce-
            
            
              ront d’assujettir leur corps aux nobles facultés de l’esprit. Ils le considéreront
            
            
              comme une construction merveilleuse faite par le Créateur tout-puissant, comme
            
            
              une vraie harpe aux mille cordes qui leur est confiée pour en assurer le fonction-
            
            
              nement harmonieux
            
            
            
            
              Pour que notre vie chrétienne soit une réussite il est de toute importance que
            
            
              nous développions une âme saine dans un corps sain
            
            
            
            
              Le fonctionnement harmonieux et sain de nos facultés physiques et cérébrales
            
            
              procure le bonheur ; plus ces facultés sont sublimées et nobles, plus ce bonheur
            
            
              est pur et élevé
            
            
            
            
              [158]
            
            
              104.
            
            
              Testimonies for the Church 3 :136
            
            
              105.
            
            
              Testimonies for the Church 3 :69
            
            
              106.
            
            
              Testimonies for the Church 2 :347
            
            
              107.
            
            
              Education, 125
            
            
              108.
            
            
              The Health Reformer, sept. 1871
            
            
              109.
            
            
              The Health Reformer, nov. 1871
            
            
              110.
            
            
              The Review and Herald, 29 juli. 1884
            
            
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