36
Tempérance
qu’un homme placé à un poste important était sous l’influence de
l’alcool. —
Rayons de Santé, 186
.
Le buveur est responsable devant Dieu
— Ceux qui conduisent
les grands transatlantiques ou qui ont une fonction importante dans
les chemins de fer sont-ils des hommes tempérants ? Leur cerveau
est-il dégagé de toute influence de l’alcool ? Si ce n’est pas le cas,
les accidents qui surviendront pendant leur temps de service leur
seront imputés par le Dieu des cieux, Père de tout homme et de toute
femme. —
The Review and Herald, 1
er
mai 1900
.
[28]
Les hommes qui ont la lourde responsabilité de veiller à la sécu-
rité de leurs semblables manquent souvent à leur tâche. Parce qu’ils
font usage d’alcool et de tabac, ils n’ont pas l’esprit calme et serein
comme Daniel à la cour de Babylone. L’usage de narcotiques en-
gourdit bien des cerveaux et les prive temporairement de leur raison.
Bien des naufrages ont pour cause l’absorption d’alcool. De temps à
autre, des anges invisibles ont protégé des navires voguant en pleine
mer parce qu’à bord se trouvaient des personnes qui avaient foi en
la puissance protectrice de Dieu et qui priaient. Le Seigneur a le
pouvoir de retenir les vagues furieuses, si impatientes de détruire et
d’engloutir ses enfants. —
Manuscrit 153, 1902
.
Nécessité de blâmer l’usage de l’alcool
— Nous avons besoin
d’hommes qui, sous l’inspiration du Saint-Esprit, s’élèvent contre le
fait de jouer pour de l’argent et contre l’usage de l’alcool, si répandus
dans les derniers jours. —
Manuscrit 117, 1907
.
La seule voie sûre
— Combien d’accidents horribles se pro-
duisent sous l’influence de l’alcool ! ... Quelle quantité de cette
terrible boisson un homme peut-il absorber sans représenter un dan-
ger pour la vie de ses semblables ? Il ne peut être digne de confiance
que dans la mesure où il s’abstient de toute boisson alcoolisée. Son
esprit doit être pleinement lucide. Aucune boisson enivrante ne doit
franchir ses lèvres ; si toutefois une catastrophe se produit, l’homme
qui occupe un poste de confiance peut y faire face de son mieux et
se présenter l’âme en paix devant le Juge céleste, quelle qu’en ait
été l’issue. —
The Review and Herald, 29 mai 1894
.