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Les prédicateurs de l’Eglise adventiste
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ceux qui ont conscience de ces principes et qui se sont habitués à
prendre soin de leur corps avec sagesse et dans la crainte de Dieu,
devraient occuper des postes de responsabilité dans l’Œuvre. Ceux
qui connaissent depuis longtemps la vérité mais qui ne peuvent faire
la distinction entre les principes du bien et du mal, ceux dont le
sens de la justice, de la miséricorde et de l’amour divin est déformé,
devraient être relevés de leurs fonctions. Chaque église doit être
capable de rendre un témoignage clair, net et vivant. —
The Signs
of the Times, 2 octobre 1907
.
Infirmiers et médecins devraient être tempérants
— On devrait
enseigner aux élèves infirmiers et infirmières tout ce qui concerne
les principes de la réforme sanitaire, leur apprendre qu’ils doivent
observer une stricte tempérance, et que la négligence des lois de la
santé est sans excuse chez ceux qui ont été mis à part pour apprendre
à leur prochain l’art de vivre. —
Testimonies for the Church 7 :74
.
Instruire sans cesse
— Puisque les principes de la santé et de la
tempérance sont si importants et cependant si mal compris, négligés
ou ignorés, nous devrions acquérir dans ce domaine une plus ample
connaissance qui nous rendrait capables non seulement de conformer
notre vie à ces principes, mais aussi de les faire partager à notre
prochain. Le peuple de Dieu doit être instruit point par point. Ce
sujet devrait être présent à tous les esprits. Chaque famille devrait
y être intéressée. Il faut révéler à l’intelligence l’importance des
principes de la véritable réforme et convaincre de la nécessité de les
observer.
[131]
Les prédicateurs principalement devraient approfondir la ques-
tion. En tant que gardiens du troupeau, ils seront considérés comme
coupables s’ils favorisent l’ignorance et la négligence des lois de la
nature. Ils doivent découvrir ce qui constitue la véritable réforme
sanitaire et enseigner ses principes par leurs paroles et un exemple
équilibré et logique. Ils ne doivent pas ignorer leur devoir dans ce
domaine, ou s’en détourner par crainte d’être traités d’extrémistes.
Au cours des conventions, des congrès ou autres assemblées impor-
tantes, il faudrait traiter des sujets de la santé et de la tempérance. Il
faut employer tous les talents disponibles et soutenir cette tâche par
des publications. “Instruire sans relâche”, tel devrait être notre mot
d’ordre. —
Manuscrit 9, non daté
.
[132]