L’Œuvre Medicale Missionnaire
143
La volonté de Dieu est que nous imitions les premiers disciples
dans leurs méthodes de travail. La guérison physique va de pair avec
la proclamation de l’Evangile. Elles ne doivent jamais être séparées.
—
Rayons de Santé, 316
.
L’œuvre médicale missionnaire et le ministère évangélique sont
les canaux par lesquels Dieu cherche à répandre les constantes ri-
chesses de sa bonté. Ils doivent être comme le fleuve de vie destiné
à irriguer son Eglise. —
The Bible Echo, 12 août 1901
.
Que nos prédicateurs qui ont acquis de l’expérience dans l’évan-
gélisation apprennent à donner des traitements simples, et travaillent
ensuite d’une manière intelligente comme évangélistes mission-
naires médicaux. —
Témoignages pour l’Église 3 :440, 441
.
En allant de lieu en lieu, le représentant-évangéliste rencontre
beaucoup de gens malades. Il doit avoir une connaissance pratique
des causes de la maladie et savoir donner des traitements simples,
en vue de soulager ceux qui souffrent. De plus, il doit prier avec foi
et simplicité en faveur des malades, en les dirigeant vers le grand
Médecin. En marchant et en travaillant pour Dieu, il reçoit l’assis-
tance des anges, ce qui lui permet de trouver le chemin des cœurs.
Quel vaste champ pour l’activité missionnaire s’ouvre ainsi devant le
représentant-évangéliste fidèle et consacré ; et quelles bénédictions
[165]
il recevra à la suite de l’accomplissement diligent de son travail. —
The Southern Watchman, 20 novembre 1902
.
Tous les serviteurs de Dieu devraient être persuadés que la pro-
pagation des lois de la santé fait partie intégrante de leur mission.
Le monde a un urgent besoin de ieur activité dans ce sens, et partout
des portes leur sont ouvertes. —
Rayons de Santé, 319
.
Le bras droit du message
Maintes fois, il m’a été montré que l’œuvre médicale mission-
naire est au message du troisième ange ce que le bras et la main sont
au corps. Dirigés par la tête divine, ils doivent travailler ensemble
à préparer la voie au retour du Christ. Le bras droit de la vérité
doit être constamment en action et Dieu le fortifiera. Mais il ne faut
pas qu’il devienne lui-même le corps. De même, le corps ne peut
pas dire au bras : “Je n’ai pas besoin de toi !” Il lui est nécessaire
pour poursuivre une œuvre active et conquérante. L’un et l’autre ont