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Pour un bon Équilibre Mental et Spirituel 2
nous font agir. —
Special Testimonies Series A 6 :39
, 6 juillet 1896.
Testimonies to Ministers and Gospel Workers, 290, 291
.
Des bienfaits inexprimables.
— Une loi naturelle veut que les
sentiments et les pensées se renforcent en les exprimant. Mais si
les mots suivent les pensées, il est vrai aussi qu’ils les font naître.
Si nous extériorisions mieux notre foi, si nous nous réjouissions
davantage des bénédictions dont nous sommes les objets — la mi-
séricorde et l’amour de Dieu — cette foi serait plus grande et notre
joie plus intense. Aucune langue ne saurait exprimer, aucun esprit
concevoir les bienfaits qui découlent de l’appréciation de la bonté et
de l’amour de Dieu. Même ici-bas, notre joie peut ressembler à une
source intarissable parce qu’elle est alimentée par les eaux vives qui
s’échappent du trône de Dieu. —
Le ministère de la guérison, 216,
217
(1905).
La faculté de choisir.
— Dieu nous a donné la faculté de choisir.
Il n’est pas en notre pouvoir de changer nos cœurs, ni de dominer
nos pensées, nos impulsions et nos affections. Nous ne pouvons
nous purifier et nous rendre dignes de servir Dieu, mais il nous est
possible de prendre la décision de le servir et de lui soumettre notre
volonté. Alors il produira en nous “le vouloir et le faire, selon son
bon plaisir”, et toute notre nature sera soumise au Christ.
Philippiens
2 :13
. —
Le ministère de la guérison, 148
(1905).
Le tentateur ne peut jamais nous contraindre à faire le mal. Il ne
peut dominer notre esprit que si nous cédons à son influence. Pour
que Satan puisse exercer sa puissance sur nous, il faut que notre
volonté y consente, et que notre foi cesse de s’attacher au Christ. Ce-
pendant tout désir coupable, entretenu par nous, lui fournit un point
d’appui. Tout point, sur lequel nous ne réussissons pas à atteindre à
l’idéal divin, lui ouvre une porte par laquelle il s’empressera d’entrer
pour nous tenter et nous détruire. Et toutes nos chutes, toutes nos
défaites lui fournissent l’occasion de jeter de l’opprobre sur le Christ.
[435]
—
Jésus Christ, 108
(1898).
Le libre arbitre de l’homme.
— Il [Satan] sema la révolte au
sein de l’humanité déchue en accusant Dieu d’injustice pour avoir
permis à l’homme de violer ses commandements. “Pourquoi, de-
manda le rusé tentateur, Dieu, qui connaissait l’avenir, a-t-il soumis
l’homme à une épreuve ? Pourquoi l’a-t-il exposé au péché, à l’in-
fortune et à la mort ?”...