L’esprit et la santé physique
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votre moi, et pensez à quelque chose de réconfortant. —
Testimonies
for the Church 2 :530
(1870).
Faire du bien met en jeu des forces positives.
— La satisfac-
tion éprouvée lorsqu’on fait du bien stimule l’esprit et se répercute
dans l’organisme tout entier. Tandis que le visage des hommes bien-
veillants rayonne de bonne humeur et exprime l’élévation morale
de leur esprit, celui des hommes égoïstes et mesquins est abattu, dé-
primé et sombre. Leurs déficiences morales se lisent sur leur visage.
—
Testimonies for the Church 2 :534
(1870).
Une bénédiction particulière.
— Lorsque des hommes qui ont
donné libre cours à de mauvaises habitudes et à des pratiques cou-
pables se soumettent au pouvoir de la vérité divine, l’effet produit
par cette vérité sur le cœur ranime les facultés morales qui sem-
blaient paralysées. Le bénéficiaire possède alors une intelligence
plus forte et plus claire qu’avant qu’il ne fixe son âme sur le Ro-
cher éternel. Son énergie physique elle-même augmente grâce au
sentiment de sécurité dont il jouit en Christ. La bénédiction divine
particulière dont il est l’objet est en elle-même santé et force. —
Christian Temperance and Bible Hygiene, 13
(1890).
Counsels on
Health, 28
.
Besoin de sérénité (conseil adressé à un responsable sur-
mené).
— Il ne m’appartient pas de préciser le genre de travail que
vous avez à faire ; mais vous devriez travailler autant que possible
dans un endroit où l’équilibre de votre esprit pourra être sauvegardé,
où vous serez tranquille et en paix, où l’on ne vous consultera pas sur
quantité de questions. Il n’est pas bon pour vous d’être responsable
de beaucoup de choses. Votre esprit ne doit pas être surchargé ; cela
vous ferait beaucoup de mal. Quand vous avez trop de soucis, le
sang afflue dans votre cerveau et vos sentiments s’intensifient au
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point que votre santé est en péril.
Soyez, dans toute la mesure du possible, là où vous aurez très peu
de raisons de vous préoccuper du travail des autres... Si vous deviez
vous charger de soucis concernant des questions importantes, la
préoccupation qui résulterait de la gestion d’une foule de problèmes
ne serait ni pour votre bien ni pour les meilleurs intérêts de la cause
de Dieu.
Ceux qui veulent vous charger d’une multiplicité de devoirs qui
exigeraient d’être gérés avec soin commettent une erreur. Votre esprit