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Chapitre 86 — Confidences et confessions
La paix du cœur.
— Le Christ demande à chacun de ceux qui
se réclament de son nom : “M’aimes-tu ?” Si vous aimez Jésus, vous
aimerez les âmes pour lesquelles il est mort. Un homme peut n’avoir
pas une allure qui plaise, être imparfait à bien des égards, mais s’il a
la réputation d’être franc et honnête, il gagnera la confiance de ceux
qui l’entourent. L’amour de la vérité, la confiance qu’on peut placer
en lui feront oublier les traits désagréables de son caractère. Avoir
le sentiment d’être à sa place et d’avoir répondu à l’appel qui nous
était adressé, mettre volontiers de côté le “moi” pour faire du bien
à ses semblables, voilà ce qui nous assurera la paix du cœur et la
faveur de Dieu. —
Témoignages pour l’Église 1 :589, 590
(1879).
Comment réagir devant la trahison.
— Jusqu’au jour du juge-
ment, vous ignorerez l’influence d’une conduite sage et affectueuse
sur des hommes inconséquents, déraisonnables, indignes. Lorsque
l’on rencontre l’ingratitude ou la trahison, on est tenté de blâmer ou
de s’indigner. C’est ce qu’attend le coupable ; il s’y prépare. Mais
l’indulgence l’étonne, éveille souvent ses meilleures impulsions et
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fait naître en lui le désir de vivre plus noblement. —
Le ministère de
la guérison, 428, 429
(1905).
Jésus, notre seul confident.
— Peu de fidèles savent apprécier
le précieux privilège de la prière et en profiter. Nous devrions aller
à Jésus et lui dire tous nos besoins. Nous pouvons lui apporter nos
moindres soucis et nos moindres doutes aussi bien que nos plus
grandes difficultés. Quels que soient les événements qui viennent
nous troubler ou nous affliger, nous devrions les présenter à Dieu par
la prière. Si nous sentons que nous avons besoin de la présence du
Christ à chaque pas, Satan aura peu d’occasions de nous assaillir de
ses tentations. Celui-ci s’efforce par tous les moyens de nous garder
loin de Jésus qui est notre ami le meilleur et le plus aimant. Lui
seul devrait être notre confident. Nous pouvons en toute confiance
lui dire tout ce que nous avons sur le cœur. —
Témoignages pour
l’Église 2 :66, 67
(1882).
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