Section 1 — Raisons d’être d’une réforme
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la pente rapidement, comme une conséquence de sa désobéissance
aux lois de Dieu et de la santé. Ses appétits le dominent, et ses
penchants l’égarent. Il trouve qu’il est plus facile de s’abandonner à
la puissance des ténèbres, toujours très active pour le faire reculer,
que de tenter un effort de volonté pour réagir contre elle et avancer.
Les conséquences en sont une vie de dissipation, la maladie et la
mort. C’est l’histoire d’un grand nombre d’existences qui eussent
pu être consacrées à une activité féconde au service de Dieu et de
l’humanité.
Rechercher la perfection
Rayons de santé, 296, 1905
2. Le Seigneur désire que nous parvenions à la perfection qu’il
nous a rendus capables d’atteindre par le Christ. Il nous demande de
choisir ce qui est bien, d’adopter les principes qui restaureront en
nous l’image divine. Dans les Ecritures, ainsi que dans le grand livre
de la nature, il nous révèle les principes de la vie. C’est à nous de
connaître ces principes. En nous y conformant, nous collaborerons
avec Dieu pour recouvrer la santé de notre corps et de notre âme.
Lettre 73a, 1896
3. L’organisme vivant est la propriété de Dieu. Il lui appartient
par droit de création et de rédemption. Par un mauvais usage de
l’une ou de l’autre de nos facultés, nous privons Dieu de l’honneur
qui lui est dû.
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Une question d’obéissance
Manuscrit 49, 1897, p.1
4. Nous n’avons pas une juste compréhension de notre obligation
de présenter à Dieu des corps purs, propres et sains.
Lettre 120, 1901
5. Toute négligence dans les soins que nous devons à notre
organisme est une insulte au Créateur, qui a donné des lois dont