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Les sept plaies et les réprouvés
199
894.
Sous l’autorité de Dieu les anges sont tout-puissants. En
une certaine occasion, exécutant les ordres du Christ, ils firent battre
en retraite une armée assyrienne de cent quatre-vingt-cinq mille
hommes. —
The Desire of Ages, 700
(1898) —
Jésus Christ, 702
.
895.
C’est le même ange qui était venu des parvis royaux pour
secourir Pierre et qui avait été le messager de la colère et du jugement
contre Hérode. L’ange frappa Pierre pour le réveiller de son sommeil.
[185]
Mais c’est un coup très différent qu’il porta au roi impie, jetant à bas
son orgueil et le plaçant sous le coup de la punition du Tout-Puissant.
Hérode mourut dans une grande agonie de l’esprit et du corps, sous
le jugement rétributif de Dieu. —
The Acts of the Apostles, 152
(1911) —
Conquérants pacifiques, 134
.
896.
Un seul ange détruisit tous les premiers-nés des Égyptiens
et remplit le pays de gémissements. Lorsque David offensa Dieu en
dénombrant le peuple, un ange causa cette terrible destruction par
laquelle son péché fut puni. Le même pouvoir destructeur exercé par
les saints anges sur l’ordre de Dieu sera également exercé par les
mauvais anges lorsqu’il le permettra. Il existe des forces déjà prêtes,
qui n’attendent que la permission divine, pour répandre partout la
désolation. —
The Great Controversy, 614
(1911) —
La tragédie
des siècles, 666, 667
.
Les deux premières plaies
897.
Lorsque le Christ cessera d’intercéder dans le sanctuaire,
la colère sans mélange dont Dieu a menacé ceux qui adorent la
bête et son image et reçoivent sa marque (
Apocalypse 14 :9, 10
)
se déversera. Les plaies qui se répandirent sur l’Egypte lorsque
Dieu était sur le point de délivrer Israël, étaient semblables par
leur caractère à celles, plus terribles et plus vastes qui marqueront
la délivrance finale du peuple de Dieu. Le prophète déclare en
décrivant ces terribles fléaux : “Un ulcère malin et douloureux frappa
les hommes qui avaient la marque de la bête et qui adoraient son
image.” La mer “devint du sang, comme celui d’un mort ; et tout être
vivant mourut, tout ce qui était dans la mer.”
Apocalypse 16 :2, 3
The Great Controversy, 627, 628
(1911) —
La tragédie des siècles,
680, 681
.